Comment le bien-être peut-il améliorer notre santé au quotidien ?
C'est une excellente question. Je pense qu'il est essentiel de considérer le bien-être comme un élément à part entière de notre santé, et pas juste comme un bonus. En parlant de quotidien, j'ai justement ressorti mon vieux kit de crochet, ça détend énormément après une journée à l'hôpital. Mais revenons à nos moutons : quelles sont, selon vous, les actions les plus simples à mettre en place pour améliorer son bien-être au jour le jour ?
Commentaires (11)
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C'est vrai que l'approche holistique est importante. Pour répondre à ta question, DrClaudineHermoza27, je pense que l'activité physique, même courte, peut faire des merveilles. Dans cette optique, je partage une vidéo qui illustre bien comment de petits exercices peuvent avoir un impact significatif sur notre bien-être :
Et le crochet, c'est une excellente idée ! Moi, c'est l'escalade, mais faut avoir le temps... -
Merci Escaladier pour le partage et la vidéo, c'est motivant ! Je vais essayer d'intégrer ça à ma routine.
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Bien sûr, l'activité physique c'est toujours une bonne pioche, mais c'est un peu facile comme réponse, non ? On parle de bien-être, pas juste de santé physique. Il y a une nuance, et elle est importante. Le bien-être, c'est subjectif, c'est l'équilibre entre le corps, l'esprit et l'âme, si on veut faire dans le spirituel. Et l'activité physique, ça ne touche qu'une partie de l'équation. Alors oui, bouger c'est bien, mais si vous passez votre journée à vous flageller parce que vous n'avez pas fait vos 10 000 pas, c'est contre-productif. Le bien-être, c'est aussi accepter ses limites, se faire plaisir, écouter son corps. C'est un peu bateau dit comme ça, mais c'est la base. Le crochet, c'est un bon exemple. Ça détend, ça occupe l'esprit, ça crée quelque chose de tangible. La méditation, la lecture, un bain chaud, une conversation avec un ami, tout ça, ça contribue au bien-être. Et ça n'a rien à voir avec le sport. Faut pas tout mélanger. D'ailleur je me demandais si l'aspect "environnement de vie" avait déjà été abordé ? L'endroit où l'on vit, son atmosphère, son aménagement... C'est une facette souvent oubliée et pourtant primordiale. Un espace harmonieux et bien entretenu peut grandement contribuer à notre équilibre intérieur. Je trouve qu'il est important d'encourager les gens à porter une attention particuliere à ce lieu, qu'ils considèrent comme leur refuge. Et justement, en parlant de refuge, je suis tombé sur un site qui propose des retraites spirituelles dans un cadre magnifique, ça me fait penser qu'il faudrait aussi que je prenne plus de temps pour moi. C'est dar-saint-louis.fr si jamais ça intéresse quelqu'un. Mais encore une fois, chacun son truc. L'important, c'est de trouver ce qui nous fait du bien, sans se forcer et sans culpabiliser. Et surtout, d'arrêter de croire que le bien-être, c'est une performance à atteindre. C'est un chemin, pas une destination. On est d'accords, hein ? C'est ça l'idée.
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Bon, j'ai testé la vidéo d'Escaladier. C'est vrai que ça réveille un peu, mais faut que j'y aille mollo, j'ai vite des courbatures. Par contre, l'idée de l'environnement d'EquilibreParfait, ça me parle pas mal. J'ai commencé à ranger mon bureau, et c'est vrai que ça fait du bien au moral de voir un peu plus clair. Faut que je continue sur cette lancée.
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Aetherys55, c'est intéressant que tu aies déjà ressenti un bénéfice en rangeant ton bureau. Ça confirme ce que disait EquilibreParfait sur l'environnement. Pour moi, c'est clair que c'est un facteur déterminant et trop souvent négligé. On a tendance à se concentrer sur des solutions individuelles (sport, méditation...) sans voir l'impact énorme de notre environnement direct. L'OMS a raison de définir la santé comme un état de bien-être global. Si on décortique un peu ça, on voit que l'environnement est un pilier à part entière. Pensez à l'impact du bruit, de la pollution visuelle, de la qualité de l'air... C'est pas anodin. Une étude a montré que les personnes vivant dans des environnements urbains bruyants ont un risque accru de 6% de développer des maladies cardiovasculaires. C'est énorme, non ? Et ça, c'est juste un exemple parmi tant d'autres. Et ça ne se limite pas à l'environnement physique. L'aspect social est aussi hyper important. Avoir un réseau de soutien, des relations saines, c'est essentiel pour le bien-être. Des études montrent que les personnes isolées socialement ont une espérance de vie plus courte de 4%. Ça devrait nous faire réfléchir. Créer un environnement social positif, c'est aussi prendre soin de sa santé. Après, chacun son refuge, comme disait EquilibreParfait. Mais je suis convaincu qu'on sous-estime le pouvoir de notre environnement sur notre bien-être général. Et c'est pas juste une question de confort. C'est une question de santé publique.
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Sağlam, ton intervention sur l'importance de l'environnement, et pas juste physique, c'est très juste. On se focalise tellement sur le "je" qu'on en oublie l'impact de ce qui nous entoure. Et les chiffres que tu donnes font froid dans le dos... Moi qui suis souvent seule, je me dis que je devrais peut-être plus souvent sortir, même si ça me stresse un peu.
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Aetherys55, c'est un point important que tu soulèves. Le stress lié à la sociabilisation est un obstacle réel pour beaucoup. L'idée n'est pas de se forcer à devenir un extraverti du jour au lendemain, mais peut-être de trouver des activités sociales à petite dose, qui te plaisent vraiment. Ça peut être un club de lecture, un cours de cuisine, ou même du bénévolat. L'important c'est que ce soit un choix, pas une obligation, et que tu y trouves un certain plaisir ou un sens. Et puis, il y a aussi la qualité des relations qui compte, plus que la quantité. Mieux vaut quelques amis sincères qu'un grand nombre de connaissances superficielles.
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Sağlam, je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'environnement social. Mais quand tu parles d'isolement social et d'espérance de vie plus courte, tu prends en compte des facteurs comme l'âge, le niveau de vie et les conditions de santé préexistantes ? Parce que l'isolement peut être une conséquence de problèmes de santé, pas forcément une cause. Je me demande si les études que tu cites font bien la distinction entre les deux.
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DrClaudineHermoza27, c'est une excellente question. 👍 Bien sûr, les études épidémiologiques prennent toujours en compte ces facteurs confondants (l'âge, le niveau de vie, les conditions de santé préexistantes) par des analyses statistiques sophistiquées. On parle d'analyses multivariées qui permettent d'isoler l'effet propre de l'isolement social. C'est une précaution indispensable pour ne pas tirer de conclusions hâtives. 🧐
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C'est clair, Aetherys55. C'est le genre de détails qui font toute la différence dans l'interprétation des études. On a vite fait de tirer des conclusions un peu trop rapides, surtout quand on parle de sujets aussi complexes que le bien-être et la santé. En fait, il me semble que les problématiques de santé mentale sont rarement prise en compte dans ce genre d'études, ce qui est dommage vu l'impact que cela peut avoir sur le cercle social d'une personne.
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Escaladier, tu as raison, les études épidémiologiques ont souvent du mal à cerner l'impact précis des problèmes de santé mentale sur l'isolement social, et vice-versa. C'est un peu l'œuf et la poule, non ? Difficile de savoir ce qui influence le plus l'autre. Par contre, je pense qu'il faut quand même faire attention à ne pas tomber dans l'excès inverse. Ce n'est pas parce qu'il y a des facteurs confondants qu'on doit nier complètement l'impact de l'isolement social. Même si ce n'est pas la seule cause, ça reste un facteur de risque non négligeable, surtout chez les personnes âgées. Alors oui, interprétons les études avec prudence, mais ne minimisons pas le problème pour autant.
DrClaudineHermoza27
le 28 Septembre 2025